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Le poste, vacant depuis mi-Novembre et le départ vers d’autres horizons de Materne Heiligenstein, est désormais pourvu. C’est finalement un “ancien” de la maison qui effectue son retour à Walygator. En effet, Laurent Muller, jadis directeur marketing et ventes sous Walibi Lorraine vient d’être intronisé directeur du parc ! 

Il a bien aimablement accepté de répondre à nos questions à l’occasion de sa récente nomination.

 

Waly'Gazette : M. Muller, pouvez-vous vous présenter rapidement à nos lecteurs ? 

L. MULLER : Je m’appelle Laurent MULLER, j’ai 52 ans et suis originaire de Strasbourg. J’ai travaillé 18 ans en Lorraine.

 

Waly'Gazette : Le parc Walygator ne vous est pas inconnu, puisque vous y avez travaillé pendant 7 ans… Pouvez-vous nous en dire davantage sur vos précédentes fonctions ?

L. MULLER : J’ai connu ce parc sous deux de ses appellations, Walibi Schtroumpf puis Walibi Lorraine de 1999 à 2006, avec des propriétaires américains puis anglais. J’étais en charge du marketing et des ventes :

  • Marketing : incluant relations presse, communication, mise en place d’événements, préparation des supports de communication, propositions/suivi/mise en place de partenariats locaux, régionaux, nationaux et européens, organisation de nocturnes avec plateaux d’artistes, suivi des réclamations et accompagnement de tous les autres services sur le terrain en cas de besoin. Ceci incluait également toute la partie reporting.
  • Ventes : management d’une équipe de 4 commerciales + 2 back-office (ticketing + groupes), suivi des grands comptes.
  • Duty Manager : j’ai à de nombreuses reprises endossé ce rôle de “directeur de garde” qui consistait à remplacer le directeur en cas d’absence.


Extrait d'une interview de Laurent MULLER en 2001

 

Waly'Gazette : Quels souvenirs gardez-vous de ces années sur le parc, à l’époque appelé Walibi Schtroumpf puis Walibi Lorraine ?

L. MULLER : J'en garde un excellent souvenir, tout comme une frustration. Beaucoup de travail, de beaux résultats, mais peu de visibilité à moyen et long terme et des moyens mais investis surtout dans les parcs du Nord, et peu en France.

Les saisons 1999, 2000 et 2001 furent les meilleures  en terme de fréquentation et de résultats. Le rebranding avec la séparation des Schtroumpfs marquera lui certainement le début de la seconde période la plus triste du parc.

Néanmoins, un plan de relance est arrivé en 2005 avec l’arrivée du Tang'Or. La visite de la presse dans l’usine de construction à Budapest… une belle expérience !

 

Waly'Gazette : Vous avez quitté le parc en 2006, quel a été votre parcours depuis ?

L. MULLER : J’ai été recruté pour prendre la direction générale de l’Imagerie d’Epinal, avec le premier exercice positif réalisé depuis plusieures années.

Puis j’ai travaillé pour un éditeur d’ERP, progiciels de gestion pour la société MISTRAL qui recherchait des profils connaissant le management et le fonctionnement de sociétés dans leurs différents métiers; j’y suis encore en poste à ce jour. (NDLR: Interview réalisée le 10/02. M.Muller prendra son poste au parc le 09/03.)

 

Waly'Gazette : Près de 14 ans après votre départ, vous êtes de retour au sein d’un parc que vous connaissez bien. Qu’est-ce qui a motivé ce retour ? 

L. MULLER : J’ai à plusieurs reprises essayé de revenir dans le secteur des parcs d’attractions. J’ai été approché pour la direction de Sindibad au Maroc, puis par Profun pour la direction marketing et ventes d’un parc au Caire, via Dan Aylward, ancien président de Six Flags Europe.

Puis j’ai eu un échange constructif mais non abouti pour la direction de Center Parcs Normandie.

Quand on est “tombé dedans”, après avoir travaillé pour la réussite du parc, que l’on participe à tous les métiers présents dans un parc, que l’on y intéresse les différents salariés, saisonniers et stagiaires, la vie professionnelle dans d’autres métiers semble plus terne, ou en tout cas moins riche…

J’ai vu les directions successives de ce parc, les investissements et absences d’investissement des uns et des autres, l’absence de mission et et de vision, le manque de projet à long terme et pendant ce temps, les concurrents situés à moins de 3h de route du parc ont tous poursuivi leurs progressions.

Ayant compris que le poste était vacant, j’ai contacté la direction du groupe Aspro avec l’espoir de pouvoir rejoindre le parc, donc le groupe et ainsi d’apporter une pierre à l’édifice de cette belle destination.

 

Waly'Gazette : Qu’est-ce qui vous a séduit dans le discours du groupe Aspro Parks pour vous convaincre de prendre la relève de M. Heiligenstein ? 

L. MULLER : C’est avant tout le parc en lui-même.

Ceci doublé par la reprise en mains d’un groupe depuis 2016 et tout le travail de fond et de forme accompli par Materne Heiligenstein avec les équipes du parc.

J’ai également pris connaissance des projets dédiés à Walygator qui m’ont intéressé et séduit.

C’est un travail de longue haleine et qui demande au moins 100% de son énergie pour fédérer les participants à cette belle aventure, et en qualité de chef d’orchestre, mon objectif est d’accompagner les musiciens à faire en sorte que le parc poursuive sa reconquête de visiteurs et leur satisfaction. Les premiers résultats sont déjà bien visibles.

 

Waly'Gazette : Avez-vous gardé un oeil sur l’actualité des parcs, et notamment celle du parc Walygator ? Avez-vous eu l’occasion d’y retourner ?

L. MULLER : Oui, j’ai toujours gardé un oeil curieux sur l’actualité des parcs et plus particulièrement Walygator. J’y suis retourné en 2007 et en 2008. J’ai choisi de ne pas y retourner depuis. 

 

Waly'Gazette : Fréquentez-vous toujours les parcs d’une manière générale ? Y en a-t-il un qui vous inspire particulièrement ?

L. MULLER : Je fréquente un peu moins les parcs, pris par mon poste actuel, mais j’en ai pratiqué quelques-uns : Europa-Park pour les parcs de destination et Nigloland pour les parcs régionaux.

 

Waly'Gazette : Le parc a quelque peu évolué depuis votre départ en 2006. Quel est pour vous le changement le plus marquant ?

L. MULLER : Le changement de nom avec l’arrivée de Walygator est indéniablement le bouleversement le plus marquant, malgré le manque d'identité forte et d'histoire. Les investissements avec notamment l’arrivée de The Monster ou du Pavillon Blanc font également partie des changements les plus marquants. Puis évidemment la reprise par un groupe structuré...

 

Waly'Gazette : Quelles vont être vos principales missions sur le parc pour cette saison 2020 ? Y aura t-il une “patte” Laurent Muller ? 

L. MULLER : Vouloir arriver avec l’objectif de marquer le parc de sa “patte” dès son arrivée serait à mon sens une erreur. Certes j’y apporterai mon expérience et mes idées, mais avant tout, je vais poursuivre le travail entrepris depuis l’arrivée d’Aspro et travailler avec les équipes au développement de la fréquentation, à l’amélioration du parcours client, et ce avec la volonté que les salariés en profitent également, et prennent plaisir à venir y travailler !

 

Waly'Gazette : Avez-vous un petit mot pour nos lecteurs ?

L. MULLER : Ce parc a été secoué, avant l’arrivée du groupe Aspro, depuis de nombreuses années. Le changement a commencé, des projets se dessinent, tout comme la réussite du parc.

Faites-vous plaisir et venez nous rencontrer au parc Walygator, votre parc d’attractions, et faites-le découvrir ou re-découvrir !

Le parc poursuit son recrutement, alors n’hésitez pas à nous rejoindre !*

 *De nombreux postes sont encore à pourvoir: https://www.indeed.fr/jobs?q=Walygator&l=

Nous remercions chaleureusement Laurent Muller pour sa disponibilité et vous donnons rendez-vous très rapidement pour de nouvelles informations sur le parc Walygator !

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